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Lors d’un décès, une parole d’espérance de la part de l’Eglise est attendue, de la compassion de la part de la communauté. La proximité envers les familles endeuillées, leur accompagnement depuis l’annonce du décès jusqu’à la célébration des funérailles sont autant d’occasions d’en témoigner. Cette  « pastorale de la compassion », ce visage de la bonté de l’Eglise, permet à  bon nombre de rencontrer le visage de la bonté de Dieu.

C’est l’un des aspects que manifeste le mystère pascal : Dieu ne veut pas nous laisser seuls dans la peine et il chemine avec nous, nous accompagne dans la douleur.

Je suis avec lui dans son épreuve
Ps 90 .

«  Nous savons que nous sommes passés de la mort à la vie »
1 Jn 3,14.

La foi au Christ mort et ressuscité, le mystère pascal, est au centre de la mission de l’Eglise, et tout particulièrement dans la pastorale des funérailles.

La mort est un passage vers une nouvelle naissance, la vie en Dieu. C’est la raison pour laquelle le rituel des funérailles reprend entre autres les signes du baptême :

• La croix, premier geste tracé sur le front de baptisé pour exprimer son appartenance au peuple des croyants.
• Le cierge pascal, symbole de Jésus Christ ressuscité, Lumière du monde, source de notre espérance.
• Le livre de la Parole «  Ecoutez mes paroles et vous vivrez »
• L’eau qui rappelle le passage de la mort à la vie, dans le Christ.
• L’assemblée, l’Eglise par le signe de la présence de l’assemblée, exprime qu’
  elle est la famille des enfants de Dieu où le défunt a été accueilli le jour de son
  baptême et dont il fait partie jusqu’à la fin des temps.

L’équipe d’accompagnement des familles en deuil

Dépliant distribué dans les cimetières de Bailly et Noisy-le-Roi pour la Toussaint